D'un côté, il y a la liberté de sentir qu'on n'a plus rien à prouver. De l'autre, il y a la déception de voir que le corps montre ses limites, et qu'il reste moins de temps qu'avant.
CINQUANTE ANS, un demi- siècle déjà ! C’est l’âge de la maturité où nous ne sommes plus très jeunes, mais pas encore tout à fait vieux ! Nous sommes arrivés au point culminant de la courbe de la vie où nous acceptons enfin de poser les bagages pour faire le bilan de notre vie « Qu’ai- je déjà accompli durant ces cinquante années ? Est-ce que ma vie a un sens ? Quel sens ai-je donné à ma vie ? Durant les années qui me restent encore à vivre, quelle mission me reste-il à achever pour continuer à leur donner un sens ? »
C’est l’âge où notre regard sur la vie change, s’adoucit, se libère.
C’est le moment où nous pouvons enfin être nous-même, lâcher ce besoin de plaire à tout prix et nous connecter à notre essence.
Tout est encore possible, mais il est urgent d’aller à l’essentiel, ne pas passer à côté de sa vie, de sa sexualité, de sa féminité. Etre capable d’aimer, encore.
Pour ne pas se dire un jour, j’ai raté ma vie, j’ai oublié de vivre, j’ai trop pensé aux autres.
Nous avons pris conscience que la vulnérabilité n’était pas un défaut mais une qualité qui, lorsqu’elle est conjuguée à l’authenticité nous permet de nous connecter à notre puissance, de tisser un lien profond avec l’autre et d’être dans notre humanité.
La transparence a toujours été un état d'être essentiel, mais pour cette 2i`ème moitié de vie elle l'est encore plus.
Une femme sage m'a dit il y a qq jours : Te voilà dans la zone ou tu sais que la vie t'a apportée beaucoup, elle a parfois repris mais elle est toujours aussi belle et merveilleuse.
et OUI c'est exactement ça alors.... je vous laisse ici, car j'ai encore une partie du monde à refaire, mais avec l'avantage de le refaire à mon goût, connecté à mon essence. Je n'ai plus à plaire, à être parfaite, à chercher l'amour de l'autre et son approbation - car aujourd'hui, je sais...
Je sais que je veux pas me réveiller sur le balcon de ma vieillesse en me disant j'aurais dont du .....